Grâce à notre partenaire Nautilus Oceanica, nous avons pu participer à ce projet décrit ci-dessous. 

Aujourd’hui, nous vous emmenons en Espagne chez un client qui gère l’exploitation des ressources de réservoirs d’eau douce destinées à la consommation et à l’agriculture.
Ces réservoirs sont alimentés principalement par l’eau de pluie. Avec le réchauffement climatique, le niveau des réservoirs diminue drastiquement. Et la température et la luminosité augmentent et génèrent l’apparition de cyanobactéries.
Ces bactéries impactent l’eutrophisation, ce qui entraîne une diminution de la qualité de l’eau, des odeurs désagréables et peut même libérer des toxines. C’est un phénomène courant, notamment l’été, qui n’affecte pas directement la consommation d’eau ni la santé, mais nécessite une gestion rigoureuse pour éviter des complications potentielles.

Mais comment savoir si les bassins sont touchés par ce phénomène ?

Solutions

Huit bouées de 20 litres, équipées chacune d’une sonde multiparamètres WiMo, ont été installées sur 5 réserves d’eau douce.

Quels paramètres ont été mesurés par notre client ?

➡️ La température
➡️ L’oxygène
➡️ La chlorophylle A
➡️ La phycocyanine
➡️ Le pH

Notre accompagnement ne se limite pas à la fourniture du matériel.

 

 

⏱️ Gain en temps et en efficacité

Auparavant, notre client effectuait manuellement les relevés. Grâce à notre modem qui envoie les mesures via la connexion en 3G/4G, l’utilisateur n’a plus besoin de se déplacer. Il reçoit les données en temps réel directement à son bureau.

Notre plateforme de visualisation des données, Inoview, lui permet de surveiller à distance et de recevoir des alertes par email et SMS.

Ainsi, nos sondes instrumentées ont détecté la présence de cyanobactéries cet été. Grâce à notre système d’alerte, notre client a pu réagir plus rapidement et traiter l’eau.